C'est officiel, après une étude minutieuse d'un institut fort réputé (à savoir moi-même) : les hommes préfèrent les connes.
Il serait du coup fort utile de se pencher sur la typologie de la conne, me direz-vous. La conne a 2 neurones, dont l'occupation principale consiste à se battre en duel, ce qui leur laisse fort peu de temps pour un fonctionnement adéquat, ce qui est fort dommage, réflexion faite. Du coup, la conne est une Woo Girl link, s'extasiant à grand bruit de tout, tout le temps, publiquement, sous peine de passer pour une hystérique folle furieuse, mais qu'importe elle se dit exhubérante. La susnommée béotienne déballe des détails très (trop) intimes et bien souvent inintéressants sur les espaces publics (ce que Frénégonde fait fort souvent... serais-je donc une conne ? Il ne faut jamais se croire à l'abri !). Un genre différent consiste à avoir la personnalité d'un mollusque agonisant (option disponible avec ou sans l'option : Miss 2 neurones) : "je sais paaaaaaaaaaaaaaas" "comme tu veuuuuuuuuuuux", prenez une décision, chère Demoiselle, ou je colle mon auguste et mignon petit poing dans votre face peinturlurée. Car, trop souvent, la conne est hyper lookée car centrée exclusivement sur sa petite personne.
Or donc, les hommes préfèrent les connes. Pourquoi me direz-vous ? Après une concertation entre très incandescentes femmes intelligentes de ce monde (car il en reste, Messieurs, elles ne sont pas un mythe !), une théorie fort intéressante vît le jour : elles sont dans l'incapacité de faciliter le transit intestinal de la gent masculine. Qui ne réfléchit pas ne pose guère de problème, c'est mathématique. Et, a contrario, les femmes dotées d'un encéphale font donc peur à ces beaux Messieurs. Complexe d'infériorité ? Complexité trop grande dans un foyer ou l'on souhaite le repos des neurones? Point ne sais-je. Ce que je sais, en revanche, c'est que je connais une fille superbe, intelligente, gentille, drôle ... et toujours célibataire !
Et pour nuancer cet article fort corrosif, je terminerai par un mot de Francis Blanche : "On est toujours l'imbécile de quelqu'un. Ce sont mes imbéciles à moi, qui m'énervent."
Yours, faithfully
Frénégonde
Car oui, voyez-vous, chaque jour, l'être humain s'enfonce inexorablement dans la mesquinerie. 
Très chers (vous savez qui vous êtes). Force m'est de constater que vous avez une vie tellement affligeante qu'il vous plait de fourrer votre vilain nez sur le blog des autres, et ce, plus de 4 ans après avoir coupé les ponts. Si mon auguste personne était tentée de croire que ceci était dans un but purement culturel, ce serait de ma part un optimisme à la limite de l'idéalisme. En effet, votre cuistrerie manifeste le disputant à votre curiosité malsaine, vous ne venez donc pas ici dans le but de vous instruire ou, encore, de vous divertir, mais dans celui de "collecter des informations" afin de mieux juger, décortiquer, et critiquer la vie des autres pour oublier la médiocrité de la vôtre. 
Et pourtant mes bons amis, c'est l'histoire de ma vie... Les gens toxiques et malveillants m'attirent, certes puisqu'ils me rassurent, est-il vraiment besoin de vous expliquer pourquoi? Tout non cuistre doté de quelques bases de psychologie saurait répondre. Et sinon, tant pis pour vous, pauvres hères, la vie est ainsi faite. 
Trop souvent, les ignares de la condition Frénégondesque la traitèrent de vile prétentieuse (quand on creuse un peu, bonnes gens, c'est pour s'appercevoir que moins prétentieux que la Damoiselle de la Pimbêche Musicalité, on fait pas). Or, la prétention lui sort par ses fort beaux yeux ! 
N'en déplaise à ceux qui n'ont d'autre loisir que de traquer mes fautes de frappe (dûes à mon merveilleux équipement informatique qu'il a fallu formater et depuis lettres et mots se mélangent à cause de l'hypersensibilité du pad, mais où sont donc passées la plume d'oie et l'encre de Chine ? ) les gens mesquins me hérissent le poil (que j'ai fort blond et fort mignon, d'ailleurs). 
Loin de l'idée de votre humble Frénégonde de prôner un optimisme à toute épreuve, qui me connaît un tant soit peu sait pertinemment que ce n'est point le genre de la maison. Toutefois, je sature quelque peu des gens qui tentent inlassablement de saper l'optimisme que je réussi à avoir dans certaines situations (et qui me fait du bien, Corneguidouille de Sacrebleu ! ). J'essaie d'envisager l'accouchement avec optimisme, par exemple et de me dire que je vais "bien le vivre", ou encore de me dire que je vais prendre l'état second dans lequel je vais me trouver pendant toute la période du post partum avec philosophie et humour. Mais, visiblement, mon entourage à l'air de penser que j'ai achevé une mutation étrange en Bisounours sous acide qui pense que tout est meeeeeeeeeerveilleux dans la vie. 
Quelle violence dans les propos, me direz-vous ! Il est vrai. Frénégonde n'aime pas les parasites. Pourquoi tant de haine ? Sans doute parce qu'elle n'arrive pas à en être une elle-même et sans complexe. 
Après une semaine de repos, voici votre bien-aimée Frénégonde de retour et pleine de verve. Voici donc un petit manifeste anti-fake. 
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A bas les viles niquedouilles dégoulinantes de promesses et de guimauves ! Dans quelque relation que ce soit, mort aux "je ne t'oublierai jamais" "je t'aime (suivi en général de quelque chose d'aussi hyperbolique que totalement dénué de réalité)" "si tu pars je ne m'en remettrai jamais" " tu resteras toujours". /fdata%2F3834795%2Favatar-blog-1154818132-tmpphpNXCxGF.jpeg){kind=avatar}