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Après une enième interruption momentanée de l'image et du son, durant laquelle nous quittâmes (a regret comme vous vous en doutez) notre luxueux HLM et son linoleum gris crotte de mouche pour une maison à la campagne, nous fîmes des travaux dans notre immense manoir avec parc privatif récemment acquis, toussa toussa...
Je me suis aperçue que mon petit blog dans mon coin dépasse contre tout attente le cercle de lecteurs de mes proches uniquement et que ma prose inepte pouvait donc divertir certains d'entre vous. Philanthrope dans l'âme, moi qui étais découragée retrouve donc l'envie de vous faire partager mon philosofiel, mes réflexions barges et mes médisances douces amères (mais jamais gratuites, vous vous en douterez).
Sur ce point, une petite mise au point, justement. Beaucoup d'entre vous se sont indignés devant mon article http://frenegonde-toute-seule.over-blog.com/article-faut-il-etre-denue-de-tout-talent-pour-etre-un-artiste-rate-119159783.html . Descendez donc de vos grands chevaux, qui doivent être un peu fourbus désormais. Je n'ai ABSOLUMENT rien contre les artistes indé, les purs les durs, les marginaux qui se battent pour réussir et dont le talent n'est pas reconnu à sa juste valeur (lisez donc l'article, palsembleu !). Je brocarde ici mon artiste raté à moi. Parce que non, le personnage décrit n'est pas fictif (promis, juré, il existe) nous l'appellerons... Jean Xavid, pour préserver son anonymat. Or donc, Jean Xavid (dont vous entendrez parler très prochainement) bat tous les records d'audience de ce que l'âme humaine a de laid, d'intrinsèquement mauvais, de vain, de drogué... Bref, un truculent personnage me direz-vous. Par cet article je voulais rendre à Jules ce qui appartenait à César ou plutôt à Jean ce qui appartenait à Xavid par un pamphlet argumenté et carabiné, afin de rétablir certaines vérités.
Or donc, bien à vous, cette fois, c'est la bonne !
Yours, faithfully,
PS: Pourquoi une photo de Cher? Parce que !
Frénégonde.