Les hommes préfèrent les connes...

C'est officiel, après une étude minutieuse d'un institut fort réputé (à savoir moi-même) : les hommes préfèrent les connes.

Il serait du coup fort utile de se pencher sur la typologie de la conne, me direz-vous. La conne a 2 neurones, dont l'occupation principale consiste à se battre en duel, ce qui leur laisse fort peu de temps pour un fonctionnement adéquat, ce qui est fort dommage, réflexion faite. Du coup, la conne est une Woo Girl link, s'extasiant à grand bruit de tout, tout le temps, publiquement, sous peine de passer pour une hystérique folle furieuse, mais qu'importe elle se dit exhubérante. La susnommée béotienne déballe des détails très (trop) intimes et bien souvent inintéressants sur les espaces publics (ce que Frénégonde fait fort souvent... serais-je donc une conne ? Il ne faut jamais se croire à l'abri !). Un genre différent consiste à avoir la personnalité d'un mollusque agonisant (option disponible avec ou sans l'option : Miss 2 neurones) : "je sais paaaaaaaaaaaaaaas" "comme tu veuuuuuuuuuuux", prenez une décision, chère Demoiselle, ou je colle mon auguste et mignon petit poing dans votre face peinturlurée. Car, trop souvent, la conne est hyper lookée car centrée exclusivement sur sa petite personne. 

Or donc, les hommes préfèrent les connes. Pourquoi me direz-vous ? Après une concertation entre très incandescentes femmes intelligentes de ce monde (car il en reste, Messieurs, elles ne sont pas un mythe !), une théorie fort intéressante vît le jour : elles sont dans l'incapacité de faciliter le transit intestinal de la gent masculine. Qui ne réfléchit pas ne pose guère de problème, c'est mathématique. Et, a contrario, les femmes dotées d'un encéphale font donc peur à ces beaux Messieurs. Complexe d'infériorité ? Complexité trop grande dans un foyer ou l'on souhaite le repos des neurones? Point ne sais-je. Ce que je sais, en revanche, c'est que je connais une fille superbe, intelligente, gentille, drôle ... et toujours célibataire ! 

Et pour nuancer cet article fort corrosif, je terminerai par un mot de Francis Blanche : "On est toujours l'imbécile de quelqu'un. Ce sont mes imbéciles à moi, qui m'énervent."

Yours, faithfully

Frénégonde