"Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis... c'est mon avis et je n'en changerai pas" pour ne citer que l'illustre "Chat" de Philippe Geluck. Moi, les gens assis dans leurs principes et incapables de reconnaître qu'un autre point de vue que le leur peut être judicieux (sans forcément que lui même aie tort), que parfois tout le monde peut se tromper (même vous, si, si promis) ça me facilite le transit intestinal. Reconnaître qu'on a eu tort ou que l'on a fait du mal (cela m'est arrivé, le plus souvent malgré moi) est une grande richesse et non un signe de faiblesse et de couardise.
La remise en question passe avant tout par la communication (sous quelque forme qu'elle soit) sans laquelle nous prenons pour une agression ce qui n'est qu'un simple malentendu. Et l'effet boule de neige n'aidant pas, on passe de très mauvais moments à imaginer que le monde entier nous en veut et que les gens ne sont que de vils mécréants. Alors que tout simplement ils ont commis une erreur qu'ils n'admettront pas systématiquement d'eux-mêmes car ils ne mesurent pas forcément la portée de leurs actes et paroles.
Avec le temps certains grandissent et prennent du courage et voient que finalement, parler, ça fonctionne. Mais force m'est d'amettre que les gens pleins de préjugés stupides qui n'en démordrons jamais ça m'agace et ne me donne aucunement envie de deviser avec eux. De même que les gens qui parlent de ce qu'ils ne connaissent pas. (Nul n'étant parfait cela doit m'arriver de temps à autres mais j'ai quelques amis spécialistes en la matière) Bien souvent, devant tant de mauvaise foi, je ne réponds pas, ne m'en voulez pas mais argumenter avec de telles niquedouilles quand la partie est perdue d'avance, ça me donne des céphalées. Je dois avouer que sur ce coup là c'est de la couardise... ou de la sagesse?
Je ne dis pas que le monde est dépourvu de gens idiots et malveillants sinon nous vivrions dans le monde merveilleux des Bisounours mais qu'objectivité et pondération sont mère de sagesse.